| Telle est l’ambition de l’Atelier Anne-Marie Frère, qui est une galerie de référence à Luxembourg pour ce mobilier.
Instaurer le dialogue entre les époques, tel est le défi. Transmettre à nos clients l’ambition de s’intéresser tout autant au mobilier d’art du 18e siècle qu’à l’art contemporain.
Associer un masque Kota, une toile d’une graffeur, une sculpture de Trémont et une bibliothèque estampillée Jacot, et les associer avec audace et goût, donne une âme à un intérieur.
Quel serait le budget d’une telle collection ? On peut trouver des objets de charme dont la fourchette se situera entre 3.000 et 20.000 € pour chaque pièce importante.
La nouvelle génération de collectionneurs ne se retrouve pas dans les intérieurs habillés uniquement de pièces anciennes mais, à l’inverse, saturés du microcosme des foires d’art contemporain, elle s’ouvre à des œuvres qui semblent intemporelles, ne risquant pas une dévaluation comme certaines créations d’artistes contemporains.
Récemment nous avons vendu une encoignure en marqueterie du 18e siècle à un client qui la placera dans un intérieur en béton, inimaginable il y a dix ans…
A l’Atelier, nous pensons que l’avenir est d’avoir une collection éclectique, prendre le meilleur de toutes les époques.
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